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Le Petit Chaperon Gaulois

Le Petit Chaperon Gaulois



      Il était une fois, dans un village Gaulois un petit garçon qui se nommait le Petit Chaperon Gaulois.

On le nommait ainsi car il portait un chaperon fabriqué en Gaule. C'était le plus malin qu'on eut su voir.

Ce village était très paisible et très fort grâce à la potion magique fabriquée par leur druide.

     Mais un jour, le druide tomba malade. Le chef ordonna au Petit Chaperon Gaulois d'aller chercher un prêtre gaulois avec de la potion magique. Le chef lui expliqua comment aller chez lui. En partant du village, le Petit Chaperon Gaulois rencontra Astérix et Obélix accompagnés de leur chien Idéfix. Ils étaient costauds mais pas malins. Ceux-ci lui demandèrent s'il avait besoin d'aide. Le Petit Chaperon leur répondit oui.

En allant dans la forêt, Astérix, Obélix et le Petit Chaperon se firent surprendre par le grand méchant sanglier et sa bande. Ils combattirent longuement : les sangliers, à l'aide de leurs défenses, les entraînèrent vers la rivière et les poussèrent dans l'eau. Quand ils en sortirent, ils burent une goutte de potion magique, tuèrent les sangliers et les mangèrent.

Pour arriver plus vite, Obélix essaya une formule magique : «Jeveuxallerenafriquepourmangerdudromadaire. » et les trois compagnons arrivèrent en Afrique.

Le Petit Chaperon Gaulois expliqua à Obélix que ce n'était pas la bonne formule. Astérix en proposa une autre : « Jeveuxallerenantarctiquepourconstruireunigloo.» et tous trois se retrouvèrent en Antarctique.

Le Petit Chaperon Gaulois leur dit : « Vous vous êtes tous les deux trompés, c’est cette formule » : « JeveuxalleràparispourvoirlaTourEiffel ». Ils atterrirent à Paris en haut de la Tour Eiffel. Le Petit Chaperon Gaulois proposa : « Maintenant c’est à Idéfix de dire la formule ». Et Idéfix aboya : « woaf - woaf ! » et ils se retrouvèrent dans leur pays devant un camp Romain. Ils s’exclamèrent : « Bravo Idéfix, tu nous a sauvés ! »

Ils prirent un peu de potion magique et traversèrent le camp romain mais ne trouvèrent pas de druide. Derrière le camp, il y avait un petit village Gaulois. Les trois hommes entrèrent dans le village et demandèrent s’ils avaient un prêtre gaulois. Les villageois répondirent oui et leur demandèrent pourquoi. Ils répondirent que leur druide était malade et qu’ils en avaient besoin d’un autre pour le soigner. Le chef du village alla voir son prêtre et lui demanda de venir un instant. Il lui dit : « Pourrais-tu accompagner ces trois gaulois dans leur village pour soigner leur druide ? » Il répondit oui, rejoignit les trois gaulois et leur dit : « Allons-y ! ».

Ils sortirent du village. Le Petit Chaperon Gaulois utilisa une formule : «jeveuxallervoirledruidedenotrevillagepourlesoigner. » D’un coup, ils atterrirent sur la maison du druide malade et transpercèrent le toit. Le petit garçon annonça au malade: « Je t’ai ramené un des tiens pour te soigner », mais il constata qu’il fallait faire vite. Il demanda alors au prêtre gaulois : « Peux-tu te dépêcher de le soigner, s’il te plait ? ». Le prêtre hocha la tête et commença à examiner le druide. Il constata, lui aussi, qu’il fallait vite le soigner. Alors, il demanda au Petit Chaperon s’il pouvait prendre une marmite et des ingrédients, puis il prépara une potion et la donna au druide. Celui-ci sauta du lit en un instant et cria : « Yahoo, je suis guéri !»

     Il remercia le prêtre gaulois et ils firent un grand festin avec leurs héros et tout le village.


Muhammed et Antoine